Une image, deux images, trois images, quatre images, plein d’images à la seconde : les choses s’animent. Deux bouts de laine, un peu de colle, des décors, une main, une webcam (refusant parfois de faire la mise au point...) et de la patience : voici les premiers essais de cinéma d’animation en classe de 1ère option facultative.
Ces travaux ont permis d’aborder de nouveaux problèmes de représentation. L’image cinématographique « mobile » ne raconte pas une histoire de la même manière que le ferait une image « fixe ». Les choix de cadrage, d’enchaînement de plans, de travelling, conditionnent l’efficacité narrative.
Deux acteurs étaient imposés : une main réelle, et un personnage en fil de laine. Les réalisations jouent à leur guise avec cette rencontre entre le vivant et l’inanimé.
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